Le Parc national des Cévennes, réserve de biosphère

La beauté de ses sites humanisés, l’équilibre particulier entre l’homme et la nature, et le souci d’associer protection et développement ont valu au Parc national des Cévennes d’être désigné réserve de biosphère par l’Unesco en 1985. Il existe plus de 700 réserves dans le monde et la France en compte 16 qui travaillent en réseau à travers l’association M.A.B France.

Un territoire vivant

Une réserve de biosphère est un territoire vivant, choisi pour être le terrain d’application du  programme sur l’Homme et la biosphère de l’Unesco (Mab – Man and biosphere).
Celui-ci consiste à promouvoir un mode de développement économique et social basé sur la conservation et la valorisation des ressources locales, et pour lequel la participation citoyenne est favorisée.

Les actions prioritaires

Les priorités d’une réserve de biosphère sont de contribuer à la conservation des écosystèmes, des paysages, des espèces ; d’encourager un développement économique respectant la nature et la culture locale ; de mettre en place des projets de recherche qui aident à la gestion des territoires ; d’assurer une surveillance continue de l’environnement pour connaître l’état de la planète ; d’encourager la formation et l’éducation ; de favoriser l’implication des populations dans la prise des décisions concernant leur région.

L’établissement public du Parc national, gestionnaire de la Réserve de biosphère des Cévennes.

Le contenu de la charte du Parc national a été conçu dès le départ de manière à inscrire les objectifs du programme sur l’Homme et la biosphère. La charte est devenue le document de gestion unique de la Réserve de biosphère. Tous les organes de gouvernance de l’établissement public du Parc sont désormais ceux de la Réserve de biosphère.